Témoinages

  • Nous avons découvert le Japon avec Archi Voyage Japon en 2019 d’abord autour de Tokyo et nous y sommes retournés cette année pour voir Osaka et Kyoto, à chaque fois le voyage était bien organisé aussi bien pour l’hébergement que pour les transports, les bâtiments visités étaient tous très intéressants, certains sont très connus des architectes et nous avions hâte de les voir en vrai autrement qu’au travers des revues d’architecture. Le plus d’Archi Voyage Japon est également les rencontres avec les architectes locaux, ce qui permet de mieux comprendre leurs démarches et les problématiques urbaines. Il faut également souligner la visite de maisons privées ce qui est impossible au Japon comme ailleurs sans y être invité. Nous avons également apprécié à chaque fois le choix des hôtels qui sont vraiment de qualité supérieure sans parler des ryokans qui sont classés monuments historiques, ainsi que le choix des restaurants qui permettent de découvrir toutes les facettes de la gastronomie japonaise. Archi Voyage Japon permet de découvrir ce pays fascinant dans les meilleures conditions avec des groupes sympathiques très motivés de taille raisonnable (8 à 14 personnes dans notre cas).

    Soisick et Jean-Luc

  • Je voudrais exposer ici ce qui me rattache au travail de l’association ARCHIVOYAGE JAPON.

    1978 : alors étudiant en architecture j’ai visité l’exposition « MA Espace-Temps du Japon » (Musée des Arts Décoratifs-Paris) : et là le vide est devenu plein, le silence un bruit, l’extérieur un intérieur ; là je suis revenu sur ma décision d’abandonner les études d’architecture et j’ai décidé aussi d’aller au Japon un jour.
    Le temps a passé.
    1986 : mémoire de diplôme « L’image de la ville dans le roman et le film noir »
    Le temps a passé.
    2014 : je rencontre AVJ et de voyage en voyage sous la conduite de cette association j’ai trouvé ce que je cherchais :
    - la turbulence et la tranquillité des villes : Tokyo/Kyoto
    - la mélancolie : Hakodate (Pierre LOTI)
    - la nature et sa négation : la région de Sanriku
    - le froid et le chaud : Hokkaido
    - le détachement : les petits bars de Tokyo quand la nuit tombe (YAKUZA de Sidney LUMET)
    - la rigueur : villa Katsura (Bruno TAUT)
    - l’inattendu : les jardins cachés (adresse inconnue)
    - les saveurs : le goût de la mer et des légumes
    - le voyage : les trains petits et grands comme chez OZU, les petits et grands hôtels et les hôtels traditionnels toujours accueillants

    Et le plaisir de la déambulation parfois incertaine, mais déambuler c’est bien ça et Aï san mène le groupe au mieux.

    Jean-Luc CAILLAUT

  • Les voyages d’Archi Voyage Japon sont toujours à part. L’édition 2018 rassemblait le feu, la lumiere et le goût de la ferveur des fêtes Japonaises. Un circuit plein de surprises inattendues loin de la foule et des sentiers battus.

    E.P.

  • Je voulais vous féliciter et vous remercier pour ce merveilleux voyage à travers le Japon que vous nous avez fait découvrir.
    J’ai une petite idée de l’organisation de voyages pour l’avoir fait moi même assez souvent, j’imagine donc le travail en amont que vous avez dû faire pour que tout soit parfait.
    L’itinéraire était original, le thème des fêtes traditionnelles insolite, et vous nous avez permis de découvrir un autre Japon bien loin des clichés habituels des tours-opérateurs.
    Nous avons bénéficié d’une météo particulièrement agréable qui nous a donné de belles lumières pour les photos.

    G.L.

  • Je tiens à vous remercier pour ce séjour magnifiquement organisé et passionnant. Cela me donne une forte envie de revenir au Japon et de connaître d’autre régions de la même façon ( villages avec cependant des bâtiments et œuvres bien intéressants, transports locaux organisés avec un tel soin et grande diversité des accueils et restaurants).
    Encore un grand merci pour tout cela.

    J.B.

  • Cela fut un voyage inoubliable, intense et intéressant de tout point de vu: humain, architecture et création : merci beaucoup !!!
    La preuve: je suis encore en train de travailler les esquisses- souvenirs

    A.G.

  • Merci pour ce très beau voyage au pays de l'éloge de l'ombre. Je souscris d'ores et déjà à un futur projet que vous auriez en tête. Bien à vous.

    J.C.

  • Automne 2013, nous espérons la douceur climatique et l’éclat des couleurs. La première journée et la première nuit sont passées à Tokyo permettant une acclimatation, la récupération du décalage horaire, mais aussi un premier train de visites : tout d’abord un quartier peu touristique en bord de mer où nous avons la surprise, dans un environnement froid et minéral, de découvrir une installation conséquente et lumineuse de Daniel Buren intitulée “25 porticos, the color and its reflections” ; puis ce sera l’incontournable visite de Ginza, puis Omotesando street qui compte plusieurs réalisations architecturales spectaculaires abritant pour la plupart des maisons de la mode et du luxe.
    Nous rejoignons le lendemain la ville d’Okayama, sur le rivage de la mer intérieure, évitant de justesse un typhon qui ailleurs poursuivra son chemin dévastateur. Nous y prenons un petit ferry trapu comme un bouledogue qui fend une mer de plomb pour accoster sur l’île de Naoshima. Là, deux musées d’art contemporain édifiés par Tadao Ando, dont l’un conserve dans une architecture acérée de magnifiques Nymphéas, au côté d’autres œuvres plus contemporaines.
    Dans la ville de Matsue, le Shimane Art Museum aux collections d’une incroyable richesse nous immerge dans des siècles de civilisation japonaise. La visite du château du XVIIème siècle qui domine la ville est saisissante autant pour la complexité de son architecture que pour ses collections propres, notamment un ensemble de casques de samouraï d’une saisissante expressivité. La demeure de Lafcadio Hearn, poète irlandais, né en Grèce, journaliste en France puis aux Etats-Unis, avant de s’installer au Japon, d’y épouser la fille d’un samouraï et d’y poursuivre son œuvre en japonais, rend compte de l’organisation de la vie quotidienne dans une maison traditionnelle japonaise. Le site shintoïste d’Izumo, auquel on accède par une magnifique allée plongeante, est un complexe religieux très fréquenté. Ses multiples bâtiments aux toits de chaume ou de tuiles recouverts de mousse enchâssent le temple principal recouvert d’un remarquable dôme en bois.
    Ponctuant ce programme riche, une nuit à l’onsen de Yunokawa, puis une autre à celui d’Iwai donnent à voir la sensorialité toute spécifique d’un intérieur japonais, depuis la sensation des pieds sur les tatamis recouvrant l’ensemble des sols de l’auberge, avec leur odeur douce et persistante, en passant par le raffinement des repas jusqu’à la chaleur des bains d’eau thermale, intérieur ou extérieur selon l’envie, passion nationale de tout un peuple.
    Le Shoji Ueda Museum of Photography, avec ses lignes toutes de verticalité, de pente et d’horizontalité nous ramènent à un Japon plus contemporain, dont la minéralité ménage des brèches qui mettent en scène un paysage agreste traversé d’une montagne volcanique.
    Quelques divagations reposantes dans les quartiers de la Vieille ville de Kurayoshi suivie de l’ascension de la dune de Tottori précèdent la confrontation au faste impérial du château Nijo à Kyoto.
    La découverte la plus lumineuse de ce voyage aura été, pour moi, jouxtant la ville de Nara, l’exceptionnel temple de Todaiji avec son Bouddha géant. Un incroyable entre lac de temples enchâssés dans une nature montagneuse et richement arborée rajoute à la magie du site. A un autre pôle de la ville, les temples de Toshodaiji et de Yakushiji donnent une idée de l’importance de la ferveur bouddhique de Nara.
    Heureux voyage tout en contraste de ce Japon moderne, audacieux, impétueux et inventif mais aussi attentif à ses traditions dont la qualité de l’accueil ne semblait pas la moindre…

    F.M.

  • Le voyage au Japon est encore bien frais dans nos mémoires. J'étais hier au soir avec Francis et Monique qui m'ont confirmé avoir fait un périple incroyable par le nombre de choses vues et visitées. Ils s'étonnent encore de ce que vous avez organisé et du programme réalisé. D'après les contacts que j'ai eu avec les uns et les autres, tous semblent ravis..... pour ma part j'ai profité pleinement en apprenant mille choses nouvelles du Japon et en approfondissant mes connaissances de votre pays. Merci beaucoup pour tout ça.

    C.M.

  • L’architecture au travers des cerisiers en fleurs et au dessus des toits des temples et vieilles maisons c'est superbe. Merci pour ce magnifique programme.

    M.L.

  • Soirée nostalgie: nous regardons les photos du Japon...Nous n'irons pas jusqu'à dire que les sushis nous manquent, les bains chauds du soir et du matin nous manquent cependant, contrairement aux algues. Nous attendons avec impatience vos photos, car nous sommes "scotchés" au 6ème jour du voyage, et plus précisément à la gare de Kyoto. Ne vous gênez surtout pas pour nous envoyer vos chefs-d’œuvre, même si vous les trouvez passables. Les futons et les oreillers de riz sont dans nos souvenirs; la bouillotte qu'on met dans notre lit tous les soirs (Marie est un peu radine sur le chauffage) nous rappelle cette merveilleuse soirée sous un toit de chaume et un feu de camp avec toutes les bébêtes autour.

    A.C.

  • Déjà loin le voyage au Japon, mais tous les jours nous y pensons en triant les 2000 photos avant de le mettre dans un album. Ce fut un très beau voyage dans un très beau pays. Vous nous l'avez fait connaître et nous rêvons déjà d'y retourner, pour découvrir cette fois le nord de votre pays.

    A.G.

  • L’ile principale d’Okinawa est à 3 heures d’avion de Tokyo. 3 heures ouvrant sur un autre monde. La mémoire des lieux se réduit, bien souvent, à celle d’une bataille particulièrement sanglante de la seconde guerre mondiale : face à la mer, à Itoman, au sud de l’île, des stèles déroulent à l’infini les noms de chacune des personnes, civiles surtout, mortes durant ces quelques mois (la bataille s’est déroulée du 1er avril au 22 juin 1945 ).
    90 % des bâtiments de l’île furent détruits, ainsi que d’innombrables documents historiques, artefacts et trésors culturels, laissant une existence exténuée n’ayant que boue et défiance pour horizon, sous occupation américaine.
    La vie reprit pourtant : d’anciens monuments furent reconstruits d’après les archives qui avaient pu être sauvées (le château de Shuri qui abritait la famille royale, par exemple) et d’autres virent le jour.
    Mais cet univers retapé ne dit pas la singularité de la culture okinawaïenne : celle de ce petit royaume indépendant et prospère, Ryukyu, qui a longtemps payé tribut à la Chine et ne fut intégré à l’empire nippon qu’en 1879 pour devenir la préfecture d’Okinawa.
    Cette singularité, métissée, lisible dans la poterie, les laques, la langue, se sirote, pour qui sait flâner. Je repense, par exemple, à ce petit restaurant où nous avons chanté, emballés, de concert avec des consommateurs locaux qui nous y poussaient avec gentillesse, des chansons populaires dont nous ne comprenions pas un traitre mot, à ce lieu à ciel ouvert, saisissant et indéchiffrable, où viennent encore se recueillir les habitants, ou ce marché, un peu désolé, mais si riche en visages. ........
    Cette gaité fleurie contraste avec l’austérité architecturale moderne, comme ce musée de la préfecture d’Okinawa aux allures de forteresse, ce lycée catholique où les rires des étudiants détonnent, cette mairie ingrate abritant des open space plus ingrats encore.
    Notre dernier jour sur l’île, il faisait un temps radieux. Le musée de la préfecture d’Okinawa abritait (entre autres) une exposition temporaire d’un jeune artiste japonais Takashi Ishida et une, permanente, d’une école de peinture purement okinawaïenne, née sur les décombres de la guerre : des univers solaires, différents, lumineux et délicats celés dans des murs massifs.
    Des bonheurs prégnants et minuscules. à l’image de celui du premier jour avec ce théâtre souple et aérien de Shin Takamatsu.

    Sylvie Lagabrielle

  • Je tiens à vous remercier très sincèrement de nous avoir fait découvrir quelques richesses de votre pays en dehors des circuits très touristiques. J’ai particulièrement apprécié notre séjour dans le temple de Haguro San et la balade dans la forêt alentour. Et bien sûr, les témoignages très émouvants des victimes du tsunami.
    Et un grand merci aussi pour votre patience et la sérénité avec laquelle vous avez guidé notre groupe, pas toujours à l’écoute.

    C.L.

  • Votre voyage nous a vraiment énormément plu. Nous gardons plein d’images et de sensations japonaises de ces 10 jours. Un grand merci à vous pour cette organisation toute en finesse.
    Nous avons qu’une seule envie, c’est d’aller plus loin.

    E.P-F.

  • Un grand merci pour cette belle organisation : grâce à vous, j'ai découvert de merveilleux endroits dans de nouvelles régions de mon cher Japon ! Comme annoncé sur le site, c'est en effet hors des sentiers battus que nous nous sommes promenés et avons découvert des bâtiments magnifiques dont nous (et de nombreux livres-guides sur le Japon) n'avions pas entendu parler. Pertinence du choix et de la variété d'ailleurs confirmée par Manuel Tardits, architecte franco-belge réputé, travaillant à Tokyo depuis 30 ans : les choix de bâtiments visités effectués par Archivoyage nous ont permis de voir en peu de temps une très grande partie des "best of" de la région visitée.

    Ambiance de voyage entre amis plutôt que de voyage d'agence, découverte de plusieurs aspects de la cuisine japonaise ( Ah ! la patience de Aï pour traduire, expliquer, commander, suivre les changements d'avis des uns et des autres dans les restaurants ...), cavalcade dans les gares, et au final, on n'a perdu personne, tout le monde semblait heureux de son voyage.
    Mille mercis!

    A.H.